Dossier de Presse
« Non assistance à enfants en danger, Plaidons tous coupables ! », un livre de Sandrine Porcher aux Editions Les Ladies L WIN, 370 pages, 15 Euros.
Tous les bénéfices de cet ouvrage seront intégralement reversés à la cause des enfants maltraités. Les familles recevront en direct les règlements sans aucun intermédiaire. Pour pouvoir se défendre dignement, payer les expertises et contre-expertises hors de prix, assister les enfants lors des audiences où ils sont malmenés, etc.
« Non assistance à enfants en danger, Plaidons tous coupables ! », un livre de Sandrine Porcher aux Editions Les Ladies L WIN, 370 pages, 15 Euros.
Tous les bénéfices de cet ouvrage seront intégralement reversés à la cause des enfants maltraités. Les familles recevront en direct les règlements sans aucun intermédiaire. Pour pouvoir se défendre dignement, payer les expertises et contre-expertises hors de prix, assister les enfants lors des audiences où ils sont malmenés, etc.
Est-ce normal pour un jeune enfant de rêver à être bien défendu ? Chacun en silence, sidéré et désarçonné, répondra à cette question en son âme et conscience…
A propos de notre ouvrage « Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables ! »
Ce qu’en dit l’auteur : « Notre objectif est d’informer le grand public sur les postures des institutionnels que nous côtoyons 365 jours par an depuis 25 ans. Notre expérience dans les dossiers de dysfonctionnement de la protection de l’enfance est édifiante, elle vous révèlera avec exactitude la réalité humaine constatée sur le terrain. Vous constaterez le délabrement de la défense des droits humains, totalement bafoués dans les cas présentés.
Nos associations travaillent au plus près des enfants maltraités, nous les soutenons au quotidien, au jour le jour, nous étudions de manière chirurgicale les pièces des dossiers qui nous sont confiés, et pas quelques minutes ou quelques heures dans un bureau feutré, mais pendant des jours, des mois, des années que durent des procédures interminables qui ne rendent jamais justice à la souffrance des victimes, rien n’échappe à notre lucidité.
L’un de nos objectifs majeurs est de comprendre pourquoi et comment on peut en arriver à des catastrophes pareilles.
Nous, contrairement aux gens du système, nous écoutons les enfants, respectons leurs paroles, vérifions leurs dires. Nous pouvons certifier que ces enfants ne mentent pas quand ils se plaignent à nous des maltraitances et des abus qu’ils subissent dans leur famille.
En Justice, les faisceaux de présomptions qui confirment les confidences tragiques de ces enfants pourraient être suffisants et servir de preuves aux magistrats.
Mais il y a cette fameuse affaire d’Outreau qui est passée par là !
Alors, la Justice française balaie d’un revers de main ces cas qui la dérangent : dans les divorces conflictuels avec suspicion de maltraitances et d’abus sur les enfants, les preuves ne sont jamais suffisantes et les indices concordants ne sont jamais pris en compte.
Les pouvoirs publics (magistrats, experts psychiatres, services sociaux, gendarmerie, police, etc.) préfèrent évaluer ces situations graves à travers la grille du politiquement correct issu de l’affaire Outreau, plutôt que de prendre en compte la réalité des faits : il faut savoir que contrairement aux idées reçues à la mode actuellement, les fausses allégations d’abus sexuels ne représentent à peine que 4 à 7% des cas.
Par peur de l’erreur judiciaire qui serait fatale à leur carrière, les magistrats préfèrent fermer les yeux sur tous les dossiers sensibles de maltraitances et d’inceste, principalement quand des notables y sont impliqués : classements sans suite des plaintes, non lieux hâtifs, incohérences dans les procédures, garde des enfants victimes confiée à leur parent bourreau, tandis que leur mère protectrice, déclarée folle et menteuse par des expertises de complaisance, est réduite au silence et privée de ses enfants.
Prenons un exemple tiré de l’un de nos cas réels, raconté dans le livre : un petit garçon de 4 ans qui déclare avoir été violé et chez qui le médecin urgentiste d’un grand hôpital public constate un hématome anal, sera considéré par le système judiciaire français comme un fou affabulateur qui a seulement un peu de constipation chronique ! Et où cet enfant finira-t-il ses jours, jusqu’à sa majorité, et par décision de Justice? Chez son père, son bourreau, à 100% de son temps, avec interdiction de revoir sa mère, sauf parfois de temps en temps, dans un centre social.
Alors que la loi contre l’inceste vient d’être votée en France, il n’y a toujours aucun changement dans le quotidien des enfants martyrs au sein de leur famille, ni dans les décisions de ceux qui sont supposés faire appliquer la loi. Ces drames déjà dénoncés par l’ONU dès 2002, confirment le classement désastreux de la Justice française au 37è rang des pays européens. »
A propos de notre réseau des L WIN « LADIES WORLDWIDE INTERNATIONAL NETWORK »
Nous avons créé ce réseau international de femmes, de manière officieuse il y a presque dix ans, et officiellement sous forme d’association loi 1901, il y a quatre ans. Sandrine Porcher en est la Présidente fondatrice.
Nous avons réussi l'exploit, en unissant nos relationnels communs, de réunir plus de 1000 femmes décideurs et solidaires à travers le monde, autour d’objectifs très louables.
Nous nous fédérons notamment sur les réseaux sociaux VIADEO et FACEBOOK. Nous organisons tous les mois des évènements, des conférences et colloques dans toute la France autour de nombreux thèmes.
Nous sommes des femmes engagées, des ambassadrices dans toutes les régions de France et d’Europe, dont les objectifs sont de :
* défendre les droits de la Femme et de l’Enfant à travers le Monde ;
* rassembler et fédérer des femmes autour de valeurs d’entraide et de solidarité ;
* regrouper des actions individuelles en actions collectives pour mutualiser nos énergies et compétences ;
* organiser des évènements à travers toute la France et l’Europe pour mieux se connaître et se reconnaître ;
* se rapprocher et établir des partenariats avec d’autres réseaux féminins ou mixtes ;
* éditer différents ouvrages sur les thèmes traités dans cette association.
Département PROTECTION de l’ENFANCE au sein des LADIES dont la responsable est Sandrine Porcher
OBJECTIF : répertorier tous les cas de dysfonctionnements en droit de la famille, notamment dans des cas d’inceste et de maltraitances d’enfants. Etre solidaires avec les mamans maltraitées institutionnellement.
* tenter des médiations dans des dossiers de sérieux dysfonctionnements, concernant notamment les gardes d’enfants, auprès des magistrats, des services sociaux, des pouvoirs publics, souvent autistes et peu compréhensifs, dès que le dossier s’avère quelque peu complexe ;
* à défaut, soutenir et assister les familles dans les dépôts de plaintes ;
* éditer des ouvrages sur ces sujets, afin de vulgariser cette cause sur des sujets tabous.
INFORMATIONS PRATIQUES
Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables !
Un livre de Sandrine Porcher, chef d'entreprise depuis 20 ans et magistrat aux Prudhommes de Lyon.
Editions Ladies L WIN, mars 2010.
375 pages, 15 € (+ 5 € de frais de port).
En vente par correspondance : ladies.worldwide@laposte.net
CONTACT PRESSE : ladies.worldwide@laposte.net
A propos de notre ouvrage « Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables ! »
Ce qu’en dit l’auteur : « Notre objectif est d’informer le grand public sur les postures des institutionnels que nous côtoyons 365 jours par an depuis 25 ans. Notre expérience dans les dossiers de dysfonctionnement de la protection de l’enfance est édifiante, elle vous révèlera avec exactitude la réalité humaine constatée sur le terrain. Vous constaterez le délabrement de la défense des droits humains, totalement bafoués dans les cas présentés.
Nos associations travaillent au plus près des enfants maltraités, nous les soutenons au quotidien, au jour le jour, nous étudions de manière chirurgicale les pièces des dossiers qui nous sont confiés, et pas quelques minutes ou quelques heures dans un bureau feutré, mais pendant des jours, des mois, des années que durent des procédures interminables qui ne rendent jamais justice à la souffrance des victimes, rien n’échappe à notre lucidité.
L’un de nos objectifs majeurs est de comprendre pourquoi et comment on peut en arriver à des catastrophes pareilles.
Nous, contrairement aux gens du système, nous écoutons les enfants, respectons leurs paroles, vérifions leurs dires. Nous pouvons certifier que ces enfants ne mentent pas quand ils se plaignent à nous des maltraitances et des abus qu’ils subissent dans leur famille.
En Justice, les faisceaux de présomptions qui confirment les confidences tragiques de ces enfants pourraient être suffisants et servir de preuves aux magistrats.
Mais il y a cette fameuse affaire d’Outreau qui est passée par là !
Alors, la Justice française balaie d’un revers de main ces cas qui la dérangent : dans les divorces conflictuels avec suspicion de maltraitances et d’abus sur les enfants, les preuves ne sont jamais suffisantes et les indices concordants ne sont jamais pris en compte.
Les pouvoirs publics (magistrats, experts psychiatres, services sociaux, gendarmerie, police, etc.) préfèrent évaluer ces situations graves à travers la grille du politiquement correct issu de l’affaire Outreau, plutôt que de prendre en compte la réalité des faits : il faut savoir que contrairement aux idées reçues à la mode actuellement, les fausses allégations d’abus sexuels ne représentent à peine que 4 à 7% des cas.
Par peur de l’erreur judiciaire qui serait fatale à leur carrière, les magistrats préfèrent fermer les yeux sur tous les dossiers sensibles de maltraitances et d’inceste, principalement quand des notables y sont impliqués : classements sans suite des plaintes, non lieux hâtifs, incohérences dans les procédures, garde des enfants victimes confiée à leur parent bourreau, tandis que leur mère protectrice, déclarée folle et menteuse par des expertises de complaisance, est réduite au silence et privée de ses enfants.
Prenons un exemple tiré de l’un de nos cas réels, raconté dans le livre : un petit garçon de 4 ans qui déclare avoir été violé et chez qui le médecin urgentiste d’un grand hôpital public constate un hématome anal, sera considéré par le système judiciaire français comme un fou affabulateur qui a seulement un peu de constipation chronique ! Et où cet enfant finira-t-il ses jours, jusqu’à sa majorité, et par décision de Justice? Chez son père, son bourreau, à 100% de son temps, avec interdiction de revoir sa mère, sauf parfois de temps en temps, dans un centre social.
Alors que la loi contre l’inceste vient d’être votée en France, il n’y a toujours aucun changement dans le quotidien des enfants martyrs au sein de leur famille, ni dans les décisions de ceux qui sont supposés faire appliquer la loi. Ces drames déjà dénoncés par l’ONU dès 2002, confirment le classement désastreux de la Justice française au 37è rang des pays européens. »
A propos de notre réseau des L WIN « LADIES WORLDWIDE INTERNATIONAL NETWORK »
Nous avons créé ce réseau international de femmes, de manière officieuse il y a presque dix ans, et officiellement sous forme d’association loi 1901, il y a quatre ans. Sandrine Porcher en est la Présidente fondatrice.
Nous avons réussi l'exploit, en unissant nos relationnels communs, de réunir plus de 1000 femmes décideurs et solidaires à travers le monde, autour d’objectifs très louables.
Nous nous fédérons notamment sur les réseaux sociaux VIADEO et FACEBOOK. Nous organisons tous les mois des évènements, des conférences et colloques dans toute la France autour de nombreux thèmes.
Nous sommes des femmes engagées, des ambassadrices dans toutes les régions de France et d’Europe, dont les objectifs sont de :
* défendre les droits de la Femme et de l’Enfant à travers le Monde ;
* rassembler et fédérer des femmes autour de valeurs d’entraide et de solidarité ;
* regrouper des actions individuelles en actions collectives pour mutualiser nos énergies et compétences ;
* organiser des évènements à travers toute la France et l’Europe pour mieux se connaître et se reconnaître ;
* se rapprocher et établir des partenariats avec d’autres réseaux féminins ou mixtes ;
* éditer différents ouvrages sur les thèmes traités dans cette association.
Département PROTECTION de l’ENFANCE au sein des LADIES dont la responsable est Sandrine Porcher
OBJECTIF : répertorier tous les cas de dysfonctionnements en droit de la famille, notamment dans des cas d’inceste et de maltraitances d’enfants. Etre solidaires avec les mamans maltraitées institutionnellement.
* tenter des médiations dans des dossiers de sérieux dysfonctionnements, concernant notamment les gardes d’enfants, auprès des magistrats, des services sociaux, des pouvoirs publics, souvent autistes et peu compréhensifs, dès que le dossier s’avère quelque peu complexe ;
* à défaut, soutenir et assister les familles dans les dépôts de plaintes ;
* éditer des ouvrages sur ces sujets, afin de vulgariser cette cause sur des sujets tabous.
INFORMATIONS PRATIQUES
Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables !
Un livre de Sandrine Porcher, chef d'entreprise depuis 20 ans et magistrat aux Prudhommes de Lyon.
Editions Ladies L WIN, mars 2010.
375 pages, 15 € (+ 5 € de frais de port).
En vente par correspondance : ladies.worldwide@laposte.net
CONTACT PRESSE : ladies.worldwide@laposte.net
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